Arrive le jour de mon licenciement et le début de la révolte

Je me fais licencier, on me dit que c'est pas plus mal vu que je n'ai pas de nounou, que mon conjoint est épuisé, etc mais je ne suis pas ravie.

Encore une fois, je suis scandalisé que ma fille n'est pas les mêmes droits que les autres, n'est pas la chance de s'epanouir en collectivité, avec d'autres enfants, Alors on me dit que je ne suis pas la seule dans ce cas, que 9 enfants sur 10 n'ont pas de place en créche mais si ca ne dérange personne, que les parents sont heureux que leurs enfants soit chez eux toute le journée ou qu'ils ont les moyens de prendre une nounou a la maison ou de faire une garde partagée, grand bien leur face.

La mairie m'a donné une liste des structures qui peuvent accueillir quelques heures pas jour ou une demi journée ou un ou deux jours par semaine les enfants. Bien entendu quand vous appellez on vous demande de faire un courrier et on vous précise que bien entendu il n'y a aucune place et qu'il a au moins 1 an d'attente....

Super !

Aussi, j'entends au tour de moi que généralement, priorité des places en créche est donné aux personnes qui ne travaillent pas !!!???!!!

Pardon ?!?!

Et oui, c'est la france moderne, c'est la société ....¨Parce qu'une personne qui ne travaille pas, avec un enfant en garde au quotidien, elle ne peut pas chercher un emploi ou être disponible pour se rendre a des entretiens, donc faut l'aider !!!

Très bien, maintenant que je suis sans emploi, j'imagine que je vais donc devenir prioritaire à la prochaine commission !!! :)